“Personne ne peut passer une chaîne à la cheville de son compagnon humain sans finir par se nouer l’autre bout autour du cou.”
Les compagnons bâtisseurs de cathédrales étaient des artisans itinérants qui ont marqué l’histoire de l’architecture européenne. Ils étaient membres d’organisations de métiers similaires, connus sous le nom de compagnonnage, et étaient responsables de la conception et de la construction de certaines structures les plus impressionnantes de leur époque. Les compagnons bâtisseurs de cathédrales étaient guidés par des valeurs morales et éthiques strictes, qui étaient essentielles pour leur réussite et leur renommée.
La première vertu mise en avant par les compagnons bâtisseurs de cathédrales était la solidarité. Les compagnons se considéraient comme une famille, unis par leur métier et leur engagement envers les mêmes valeurs. Ils partageaient leurs connaissances et leurs compétences, et travaillaient ensemble pour réaliser les projets les plus ambitieux. Ils étaient également solidaires envers les plus faibles, offrant leur soutien et leur aide aux membres de leur communauté qui étaient dans le besoin. La deuxième vertu importante pour les compagnons bâtisseurs de cathédrales était l’excellence. Les compagnons s’efforçaient toujours de faire de leur mieux, en visant l’excellence dans tous les aspects de leur travail. Ils étaient fiers de leur travail et cherchaient toujours à améliorer leurs compétences et leur savoir-faire. Ils croyaient que la qualité de leur travail était la meilleure publicité pour leur métier et pour leur organisation. La troisième vertu clé pour les compagnons bâtisseurs de cathédrales était la responsabilité. Les compagnons étaient conscients de l’impact de leur travail sur les générations futures, et ils prenaient leur responsabilité envers les bâtiments qu’ils construisaient très au sérieux. Ils s’assuraient que leur travail était solide, durable et bien fait, en utilisant des matériaux de qualité et en respectant les normes de sécurité en vigueur. Ils s’engageraient également à transmettre leur savoir-faire aux générations futures, pour s’assurer que leur métier perdure. Enfin, les compagnons bâtisseurs de cathédrales étaient guidés par la modestie. Ils ne cherchaient pas à s’imposer ou à se mettre en avant, mais préféraient travailler dans l’ombre, en se concentrant sur leur métier et leur engagement envers les valeurs du compagnonnage. Ils étaient conscients de leurs limites et cherchaient toujours à apprendre et à s’améliorer. Les compagnons aiment le travail, c’est pour cela qui le glorifie. Les compagnons bâtisseurs de cathédrales étaient des artisans exceptionnels, qui ont laissé derrière eux des monuments impressionnants et durables. Leur succès était basé sur leur engagement envers les valeurs du compagnonnage, notamment la solidarité, l’excellence, la responsabilité et la modestie. Ces valeurs sont toujours applicables aujourd’hui, et sont un témoignage de la pertinence et de la force du compagnonnage.
L’arcane des compagnons peut également se traduire par le compagnon ou la compagnonne qui partage notre vie. Dans cette vision, nous parlerons de notre relation privilégiée avec ce compagnon. Son enseignement lui permet d’effectuer des tâches dans un travail commun. À l’image de la construction de cathédrale, le compagnon a besoin d’aide au quotidien, que cela soit pour construire une famille, des amitiés, où tout simplement des relations durables et saines. Il faut une juste proportions des rôles, certaines taches sont parfois plus éprouvantes que d’autres et la cohésion des compagnons est importante. Les tâches difficiles doivent être réparties selon le potentiel de chacun. Il faut une juste répartition afin que cela soit équitable. Si le compagnon croule sous le travail, c’est toute la tâche générale qui est en péril. Cette idée du tout, tout seul mène à l’idée du burn-out. Le compagnon est également un serviteur, au sens noble du terme. Il sert une cause qui dépasse son individualité. Il sait rendre service en faisant preuve de cœur, de manière désintéressée. Il ne rend pas service dans le but d’obtenir quelconques avantages calculés. Il le fait, car cela correspond à sa philosophie de vie, donner l’amour autour de lui pour le bien de l’humanité. L’entraide de son entourage lui permettra de réaliser ses projets et d’équilibrer sa vie. Le compagnon ne peut pas achever un édifice seul, le projet serait trop laborieux pour lui. Le compagnon est souvent guidé par un idéal à atteindre en tant qu’humain pour le bien général.
Entraide
Humanité
Equité
Solidarité
Famille
Amitié sincères
Cohésion
Besoin d’aide
Répartition des tâches
Soutien
Travail bien fait
Modestie
Responsabilité
Savoir faire
Désintéressement
Savoir être
Savoir vivre
